A la une, à la deux … à la trois !

3 … c’est un chiffre qui me parle … rond, enveloppant, mais ouvert. Couchez le et il devient une jolie poitrine bien dodue ou un beau derrière … il a tout pour plaire

Et encore plus lorsqu’il correspond à 3 amants … oui oui, vous allez me dire, ce sont presque toujours des trios dont je parle, mais que voulez vous … c’est un péché mignon !

Celui ci date de l’année dernière … fin de l’été. Mais il est toujours aussi vivace dans ma mémoire … Bonne lecture !

 

Un mois … un mois d’abstinence, parce qu’il faut bien aussi tenir son rôle de maman pendant les vacances.
Alors, pour briser le jeûne, avec ma belle amie, nous avions programmé un petit rendez-vous avec l’un de ses coquins. Oui oui , vous entendez bien, nous partageons nos connaissances, comme nous l’avions déjà fait pour ma première en club … c’est je pense l’un des secrets de notre complicité, nous ne sommes ni exclusives ni jalouses.

Donc rendez-vous est pris. Et miracle des nouvelles technologies, nous discutons ensemble avec monsieur pour les détails techniques mais pas que.
C’est que nous sommes doués avec les mots également. Alors pendant quelques temps, on se dit qu’on a hâte, que vivement, qu’on a trop envie. Et la pression monte, une semaine à attendre, et les messages se font plus osés. Monsieur aime bien nous parler … nous laisser des messages vocaux où, de sa voix grave et parfois rauque, il nous dit à quel point il a envie de nous deux, de nous prendre, de nous voir prendre du plaisir et lui en donner …
Nous surenchérissons, lui disant à quel point nous avons envie de partager nos corps, nos bouches, nos langues nos sexes …

Samedi. Enfin. Plus que quelques heures … la journée va être longue, ma belle la passe avec moi pour m’aider dans un déménagement. Nous suons car il fait chaud, nous portons des cartons, nous rions, nous râlons … et les heures passent.

17h. Nous terminons enfin ; crasseuses, suantes, elle les pieds en feu (quelle idée de faire un déménagement en talons !), mais toutes deux prêtes pour la nuit qui s’annonce.
Ah oui, parce que ce sera toute la nuit … un bel hôtel en banlieue, une belle chambre avec terrasse pour nous 3 … un écrin à la mesure de nos envies.

Retour chez moi, on se prépare tranquillement, pour être fraîches et disposes. Passage chez notre cher et tendre ami Picard, pour faire le plein de petites choses à grignoter (c’est qu’il faut de l’énergie …)
Nous sommes un peu électriques … un peu grisées de notre désir.
Pour elle, ce sera jolie jupe et petit haut mettant en valeur sa poitrine, et rien d’autre. Pour moi, une petite robe rouge à bretelles toute simple, avec juste un tanga en dessous.

L’arrivée à l’hôtel est assez comique : en effet monsieur nous attends déjà, nous devons récupérer une clé à l’accueil … toutes les deux … en tenues sexy et notre sac de victuailles à l’épaule … que va donc penser la dame ? Et ça nous amuse !

La chambre est belle, spacieuse, un grand lit, une méridienne, et une belle terrasse avec une vue imparable.

Lui est électrisant : regard profond, sourire charmeur, voix de velours … premiers baisers échangés, premières montées de désir, mais on prends le temps. Le champagne est au frais, on sort les petits fours, et on profite de la terrasse pour parler, trinquer, raconter sa journée et se regarder.
Il fait un tout petit peu frais, alors on rentre à l’abri … on pose les coupes, et j’embrasse ma tendre, doucement, pendant qu’il la déshabille … je la caresse, j’adore son corps de Vénus
Puis vient mon tour, ses mains à lui qui font tomber ma robe comme une corolle rouge au sol … leurs mains à tous les deux sur moi … les miennes sur eux …
Puis on se tourne toutes les deux vers lui et on le déshabille également. La chemise, bouton après bouton, que nous lui enlevons à 4 mains, les mains caressant ses épaules, son torse, de concert. La ceinture … le pantalon … oh pas de caleçon, mais un sexe dressé et dur qui n’attends que nous … délicatement, tous les vêtements sont posés sur une chaise, et nous nous mettons toutes les deux à genoux devant lui, le même sourire gourmand au coin des lèvres et commençons notre danse des langues et des bouches … il est aux anges, et nous aussi, car nous adorons ce petit ballet, et l’entendre gémir de désir en disant « c’est trop bon ».
Ils m’allongent sur la méridienne … et ma douce qui vient comme elle sait si bien le faire titiller mon clito de sa jolie langue, pendant qu’il commence à la prendre en levrette. Ses coups de reins se répercutent sur ma chatte via la douce langue qui la lèche, je les regarde tous les deux, dans les yeux à tour de rôle, souriante et soupirante … je sens ses gémissements qui vibrent sur mon clito alors qu’il lui donne du plaisir, c’est si bon …
Et on change de position, à moi de venir goûter ma jolie, pendant que je sens enfin son sexe me prendre, ses va et vient m’arrachant des gémissements …
Nous passons sur le lit, où il donne la pleine mesure de son endurance, nos deux culs offerts pour une double levrette … à tour de rôle, pendant que l’une regarde l’autre …
Je m’allonge sur le dos pour mieux les voir, et prends l’une des mains de ma jolie pendant que de l’autre je me caresse de la voir prendre du plaisir … On jouit toutes les deux, mais lui se retient …
Et le ballet reprends, l’une l’autre, nous arrachant des cris de plaisir …
Enfin, nous nous tournons vers lui, il est prêt … nos langues sous sa queue, il se libère enfin dans un râle, et jouit fort.
Nous sourions ….
Première douche, retour au champagne, une grande discussion sur tout et rien, histoire de laisser poser les corps … et de se découvrir un peu plus … enfin lui et moi, eux deux se connaissant déjà d’avant.
Et puis, retour à la chambre, retour aux plaisirs, on alterne, on se regarde, on est complices, on jouit.
Repos. Lui pris en sandwich entre nous deux dans le grand lit.
Mais il n’en a pas assez. Alors dans la nuit, une envie, et il se tourne vers mon amie pour partager du plaisir … je les regarde, complice, moitié endormie
Le matin, c’est à mon tour d’avoir envie … de longues caresses pour le réveiller en douceur, suivi de petits baisers le long du dos, il se tourne et je le chevauche, descends et le prends en bouche pour poursuivre son réveil … déjà bien avancé … l’entendre gémir, voir ma complice qui nous regarde en souriant, sentir l’envie monter … je me retrouve sur lui, à bouger au rythme de ses mains sur mes hanches et de ses mouvements de bassin … sentir que ça monte encore, et encore … je m’écroule vaincue … pas lui, qui se tourne vers ma partenaire de jeux pour finir de la réveiller … c’est beau à voir … cette fois, son plaisir à lui viendra sur nos poitrines collées, offertes face à lui …

L’heure de retourner dans le monde réel est arrivée. Doucement, joyeusement, nous ramassons nos affaires, nous douchons, nous lavons les dents, plaisantons et reprenons un rythme normal.
La belle parenthèse est terminée … pour cette fois …
Enfin, dernier clin d’œil : près de l’ascenseur, nous découvrons un picto représentant un homme et deux femmes … nous ne nous étions pas trompés d’endroit apparemment !

Un deux trois, nous irons aux Bois …

Texte court … mais qui je l’espère éveillera vos sens et vos envies … une belle expérience … la première, qui garde comme vous devez le savoir, une saveur particulière … et celle ci a fait jouer tous les sens …

 

Après cette expérience de multi, très bien passée, il était temps de fixer une rencontre qui attendait depuis un moment.

Le décor : un hammam
Les acteurs : un homme, deux femmes
Les rôles : un loup et deux drôles de chaperons rouges …
L’histoire : un fantasme qui se réalise

Voilà … nous y sommes … cela fait quelques semaines que nous discutons, échangeons, fixons ce rendez-vous, et je suis aussi impatiente que les deux autres.
Lui est un complice de longue date, avec qui l’entente est tranquille. Elle, c’est une fée, une femme, ma première, que j’adore. Et moi, qui attends de partager avec ces deux là, pour mon plaisir mais aussi le leur.

Un hammam, tranquille un lundi après midi, où l’on a pu profiter du jacuzzi de façon détendue, se touchant, s’embrassant, se caressant, chacun à tour de rôle, lui elle moi elle lui moi lui elle … baisers partagés, mains qui se promènent, chaleur qui monte …
Puis trouver un coin, un endroit pour se toucher sans l’eau … se goûter … ce sera la grande pièce, pleine de miroirs, pour se voir …
L’alchimie opère entre nous : baisers profonds entre elle et moi, je libère sa bouche pour me remplir de ses seins, une main sur la queue du loup, l’amenant dans notre cercle.
Mains qui se touchent, explorent les intimités humides, langues qui se mélangent, se baladent … j’ai envie de la goûter, de la sentir vibrer au bout de ma langue, alors elle s’allonge et moi je m’accroupis devant cette belle chatte offerte … délicieuse, alors que lui me caresse la croupe avant d’entrer en moi … transfert de vibrations, ma bouche qui va et vient au rythme de ses coups de reins … les regards qui se croisent, elle devant moi, lui dans le miroir, aux anges …

C’est à son tour à elle de me goûter … sentir sa langue agile qui parcours mes lèvres … mon clito … un délice … lui qui la prends comme moi juste avant … Sentir leur plaisir qui enfle, comme le mien, pour finir par exploser !

Comme c’est bon tout ça ! Ce partage, ces sourires, cette connivence, un véritable moment de plaisir …
Monsieur doit repartir, mais avant nous jouons un peu avec lui … cette queue qui vient de nous donner du plaisir, nous la léchons à tour de rôle, la prenons en bouche, lui prodiguons mille caresses du bout des doigts et du bout de la langue, les yeux dans les yeux, parfois langue contre langue …

Mais monsieur doit partir alors nous repartons, avec encore plein d’envies mais sereins car nous savons tous les trois que cela se reproduira …

Alors si vous avez l’occasion, n’hésitez pas à tester cette expérience. Vous verrez … on en redemande!

Trio un jour, trio toujours

J’adore les trios complices, où les plaisirs se conjuguent au féminin et au masculin, et inversement. Et bien celui dont le récit suit ne déroge pas à la règle …
Elle, D, ma petite brunette piquante, ses courts cheveux noirs striés d’une mèche rouge, et sa bouche rieuse et gourmande. Lui, F., grand, musclé, le câne rasé, un sourire de coquin et un accent toulousain si charmant au service d’un joueur très endurant. C’est moi qui les avait présentés l’un à l’autre, quelques mois auparavant, et leur complicité est un pur délice à voir … et à partager
Il avait préparé un petit après-midi entier de plaisirs et de surprises pour la belle, au Strip, notre antre : jouets, massages, plein de petites attentions, et la cerise sur le gâteau : moi ! J’avais donc pris soin de m’habiller de façon simple mais appropriée : robe noire près du corps, bas noirs et dessous en dentelle rouge … Je suis arrivée vers 17h, alors qu’ils prenaient une pause … depuis 13h30, ils avaient eu le temps de se fatiguer un peu … et heureusement que le club était vide, ce fut un accueil plutôt bruyant. Une boule d’énergie, tourbillonnante dans son paréo léopard, qui me saute dessus en criant « je le savais je le savais !!!! Va chercher l’enveloppe dans mon sac toi !!!! » … Oui … elle avait noté un adorable « Bonjour Chris » sur un petit papier, enfermé dans une enveloppe depuis 1 semaine. La chipie !!!
Je me mets à l’aise, le léopard me va plutôt bien … et nous prenons le temps de discuter en buvant un verre, qu’ils me racontent un peu leurs ébats du jour. Des jeux à tout va, un massage transformé en « séance shiva » tant il y avait de mains, un placage contre la vitre où la miss a offert un spectacle de son plaisir plaqué à tous les hommes présents … qui s’en sont repus … et ils sont toujours en forme … plus ils racontent, plus les mains se font baladeuses, les caresses plus fermes, les regards qui s’assombrissent. Ma bouche cherche celle de D., j’adore son petit goût de coca qui me titille la langue … F à côté n’en perds pas une miette, nous couvant du regard et promenant ses mains sur nous
Direction les coins câlins … envie de toucher, goûter, d’être proches … Le club est à nous, alors nous choisissons un grand matelas, des barreaux pour s’accrocher et une porte pour pouvoir s’appuyer dessus … parfait.
J’adore toucher la peau douce de D., son joli corps musclé par l’équitation … sa bouche gourmande et sa petite langue rose … délicieux … Nous nous occupons de nous d’abord … mains caressantes, bouches curieuses, nous prenons plaisir à nous retrouver … sur nos genoux, l’une en face de l’autre, nos mains descendent vers nos clitos humides, déjà, les titillent en rythme … F, à côté de nous, assis, nous regarde, faisant passer ses mains sur nos corps. Ma main descends attraper son sexe dressé et dur, pour le branler au rythme de nos doigts. Quel plaisir que ce partage !
Je descends ma bouche pour dévorer ses tétons, roses sur ses seins lourds, puis continue ma descente vers sa fente, la lapant délicatement, puis voracement, cette petite chatte que j’ai été la première femme à gouter … elle a toujours une saveur particulière, ce petit goût de souvenir qui la rends différente des autres … elle a été à moi avant les autres … l’entendre gémir de plaisir, la sentir se cabrer me donne encore plus faim d’elle … je la dévore, littéralement, jouant de la langue de la bouche pour la faire succomber. Que c’est bon ! Et puis, je lui propose ce qu’elle m’avait avoué vouloir : que je sois la première femme qu’elle goûte … comment ne pas craquer devant son petit air mutin, sa mèche devant les yeux, et son petit sourire en coin ?
Je m’allonge … m’offre avec délices à cette découverte … F n’en perds pas une miette et me pétrit les seins tout en admirant ces premiers pas … oh cette langue curieuse, fureteuse, avide de découvrir ! Et qui apprends vite ! Elle lèche, elle suce, elle aspire, titille mon bouton avec de plus en plus d’assurance … la vague monte, je gémis en tenant sa tête entre mes cuisses ouvertes … des « oui » s’échappent de mes lèvres et mon corps tremble … brave petite !!!
F est aux anges, mais il est temps de s’occuper de lui un peu, pauvre délaissé …
Un regard, un sourire, entre D et moi, et nous l’allongeons sur le matelas. Nos bouches se rejoignent autour de son gland humide, fièrement dressé vers nous, et commencent un ballet qui va le rendre fou : baisers à deux, une bouche sur son gland, l’autre sur ses bourses, qui se rejoignent de la langue ou des lèvres et changent de place, encore et encore … une pipe à deux bouches qui le laisse tremblant et dur … prêt à venir me prendre …
Je me mets en position, à genoux, ma croupe offerte, envie qu’il me prenne en levrette et que je puisse voir ma belle … sensation d’être remplie de lui quand il vient, doucement, je suis tellement excitée par ces préliminaires multiples qu’il glisse sans effort … ses mains s’agrippent à mes hanches, je suis cambrée et gémis sous ses coups de reins … ma belle me caresse la tête, me regarde, le regarde, m’embrasse, l’embrasse, me branle le clito alors qu’il me prends encore et encore. Il me claque les fesses, réveille les sangs … ses grognements m’excitent encore plus alors qu’il me serre la taille plus fort. Ma main cherche la chatte de D, qu’elle fasse partie de cet assaut elle aussi … trio de gémissements qui montent et descendent au gré des mouvements Il veut me voir, me regarder dans les yeux plutôt que mon tatouage … me retourner comme une crêpe en me faisant rire, et me relève les jambes pour s’introduire d’un coup dans ma fente trempée. Sa queue qui tape plus loin, plus fort, me fait respirer plus lourdement, ululer avec la montée du plaisir. D, est là, encore une fois au bout de mes doigts, gémissante elle aussi, cambrée sur les genoux nous offrant une vue magnifique sur son corps. Je suis vite submergée de plaisir, criant plus fort et lâchant tout …
F, tout en contrôle et fidèle à lui-même, a encore une forme olympique malgré les différents assauts qu’il mène depuis 13h30 … et D est d’un appétit vorace … elle le cherche, le somme presque de revenir l’honorer … leurs regards qui s’accrochent, leurs envies qui se rejoignent, il l’allonge, remonte ses jambes et entre en elle d’un seul coup de rein … comme c’est beau à voir … elle le défie du regard de la faire jouir encore … se mord les lèvres en sentant sa queue dure venir profondément en elle … ils glissent sur le matelas tellement l’assaut est intense, alors je me place pour la tenir … ils changent de position, ce qu’ils font là est d’une technicité particulièrement intéressante à regarder. Excitante aussi … je suis allongée sur le ventre, je tiens les fesses de D, remontées au possible, et lui est presque debout son sexe allant et venant dans cette chatte ouverte et accueillante. Voir ce mouvement de va et vient, en sentir les vibrations dans mes mains … je suis une spectatrice comblée.
Elle a déjà jouit, bruyamment, comme elle sait si bien lâcher les rênes. Mais lui, endurant, se retient encore, la retourne la prends dans tous les sens jusqu’à jouir en elle … agrippé à ses hanches il lâche l’emprise qu’il avait sur lui-même et s’abandonne à cette « petite mort » qui le rend pantelant.
Le moment de l’apaisement … allongés sur le matelas, nous nous caressons, apaisant le rythme des cœurs et des corps.
Mais nous avons encore de petites surprises pour lui …
Je me mets sur D, allongés l’une sur l’autre, sexes humides qui se touchent, et je l’embrasse, la caresse, l’apaise, tout en bougeant le bassin, frottant nos chattes l’une contre l’autre, activant des sensations douces de plaisir montant … les yeux dans les yeux, on accentue le mouvement, les bassins roulant l’un sur l’autre, les clitos s’effleurent, faisant varier le plaisir comme une vague … on se sourie, on s’embrasse on se touche, sous le regard hypnotisé de F, on ondule comme deux serpents enlacés, jusquà sentir une vague plus forte que les autres … je viens de jouir avec une douceur infinie et D est aux anges.
Mais j’ai comme une faim encore qui m’étreint, une envie d’être encore remplie, même si ce n’est pas jusqu’à la jouissance. Sentir un sexe d’homme pour compléter l’expérience.
F, excité encore par nos ébats, malgré ses forces diminuantes, s’allonge et me laisse le chevaucher, prendre le contrôle en douceur et venir m’empaler sur lui. Je reprends mes ondulations, tout en sensualité, juste ressentir cette sensation de plénitude. Et bien qu’il déclare forfait, le plaisir simple et doux est là, celui qui ne demande rien d’autre que d’apaiser.
Nous sommes toutes les deux comblées, lui épuisé, mais nous ne pouvons pas nous décoller. Alors, l’une près de la tête, l’autre au niveau des pieds, nous entamons la phase finale de son plaisir. Délicatement, sans blesser, nous faisons glisser ongles sur sa peau, le long de ses bras, jambes, ventre, flancs. Il gémit et frémit, envahi de délicieux frissons … il ne sait plus s’il doit rire se détendre, se tendre, nous repousser ou nous demander de continuer encore et encore … perdu dans un tourbillon de sensations, il s’abandonne totalement sous nos doigts … enfin il est apaisé. Nous nous lovons contre lui, chacune d’un côté, nos mains qui se joignent, pour une étreinte d’une intimité et d’une complicité tellement parfaites.
Et nous rions. D’être ensemble, d’être vivants, d’être tout simplement.
Voilà pourquoi j’adore ces trios complices. Il y a tellement plus que juste du sexe. Il y a une entente, une presque symbiose qui transcende le moment, en fait quelque chose d’unique, de mémorable.
Et c’est un plaisir de le partager avec vous.