Oui, toujours et encore, malgré ma présence sur des sites libertins, Tinder garde une place à part dans mon … cœur
J’y ai fait quelques unes de mes plus belles rencontres, alors aucune raison de le bouder.
S, dernier en date : un match il y a plus d’un mois, une première rencontre annulée, des soucis perso (séparé depuis peu, nouvelle vie à gérer), mais la conversation reste régulière et intéressante … mon côté libertine lui plait, mais j’ose penser qu’il n’y a pas que ça … Un brin dominant, il disait vouloir me faire patienter, car on ne devait pas le faire souvent … vous voyez le personnage.
Un vendredi soir, alors que je traîne un gros rhume et suis installée en mode « grog bouillon de poulet » il m’envoie un message vers 21h30 pour me dire qu’il va au Rosa Bonheur avec son cousin, que je me prépare ils passent me chercher. Il avait juste oublié que je n’étais pas la porte à côté, et que je ne pouvais pas circuler dans Paris, circulation alternée.
Il me dit donc « viens chez moi (91) et on t’emmène ! » Pour rappel, je ne l’ai jamais rencontré, et là je vais me retrouver avec lui plus son cousin que je ne connais pas plus. Je suis parfois un peu dingue, mais je me fie à mon instinct pour savoir quand je peux faire confiance.
Je réfléchis deux secondes et lui dis « ok, laisses moi me préparer et j’arrive ». Et à sa remarque « si tu es en mini jupe on te laisse le temps que tu veux » je lui réponds qu’un décolleté sera largement suffisant. Non mais …
Et donc me voilà là bas. Charmant, agréable, naturel et souriant, comme lors de nos échanges … élégant en simplicité aussi …
On attend son cousin, on discute un peu, et ensuite départ pour le Rosa Bonheur … dans une Tesla … oui, pour ceux qui ne le savent pas, j’admire les belles mécaniques. Alors cette petite merveille de technologie me plait bien … vitesse, racée … il me plait bien ce S, par ses goûts.
On discute tous les 3 sur le chemin. O (le cousin), je le cerne vite : le charmeur de service, le dragueur de première, qui apparemment préfère les femmes en couple ou accompagnées juste pour le jeu de les séduire devant leur homme, consentant ou pas … pas d’ailleurs, c’est bien plus excitant. S me raconte les fois où il a dû calmer le jeu pour éviter des bagarres … Mais surtout, il a comme une espèce de … « aura » auprès de son cousin, celle de l’ainé qui lui fait découvrir plein de choses, dont les clubs libertins qu’ils pratiquent depuis longtemps, ensemble …
Il est très présent ce O, questionne beaucoup, laissant peu la place à S qui est, je le rappelle, la raison de ma présence. Son côté séducteur ne peut s’empêcher de tenter … mais je reste concentrée sur mon « premier cheval ».
Arrivés sur Paris, changement de plan, O. doit retrouver des collègues ailleurs … grosse déception, ambiance proche de zéro, nous n’y restons que le temps de boire un mojito, un peu pressés par le cousin qui lui ne trouve personne à se mettre sous la dent. Mais on prends notre temps, on discute réellement de choses qu’on n’a pas évoqué auparavant. Puis direction le Rosa Bonheur.
Une péniche, au pied des Invalides, une clientèle très jeune, pas mal alcoolisée, mais une ambiance électrique avec musique variant des années 80 à nos jours. Ca drague à tout va, ce qui ravit O ! On entre tant bien que mal, Stéphane fait le body garde et me colle, me tiens, ses mains sont chaudes sur mon corps, ce n’est pas désagréable du tout
On perds le cousin, qui se fait payer un verre par la première femme qu’il croise, il a un bagou de dingue et une assurance à toute épreuve. Atteindre le bar est une gageur, mais j’arrive à nous commander à boire, que l’on puisse se poser dans un coin pour continuer notre découverte. Il me parle de son travail, moi de mon libertinage, de nos envies, fantasmes. Le sien est à la fois banal et surprenant : un trio avec deux femmes rien de plus classique (surprenant d’ailleurs qu’en club il n’ait jamais eu l’occasion, mais à priori toujours partagé avec son cousin)… Surprenant parce qu’il prend la forme d’une semaine de vacances avec deux femmes, en totale liberté … de quoi laisser rêveuse …
Et puis à un moment … il m’attrape par la nuque et m’embrasse, langoureusement, voracement … de quoi réveiller des sensations agréables au creux du ventre et entre les cuisses … et de son côté aussi d’ailleurs … ses mains fortes n’hésitent pas à explorer mon décolleté, mes fesses … Hummm c’est trop bon !
Je lui parle moi de ma dernière envie … une soirée les yeux bandés, à me laisser faire totalement par un homme : attachée ou pas, me laisser surprendre, guider, porter … lâcher prise. Et ça lui parle, son côté dominant frétille dans son pantalon, je le sens … il est semble t il équipé, ayant fait quelques achats chez Démonia, le coquin …
L’heure de partir arrive, le Rosa ferme … On retrouve son cousin, un peu frustré, rien attrapé ce soir, ce qui est semble t’il rare … Qu’à cela ne tienne, je suis là, il entreprend donc de me charmer un peu, au cas où, c’est plus fort que lui … malheureusement, non seulement je connais son côté « je te pique à ton mec » mais en plus … je suis concentrée sur S alors il fait chou blanc. Et puis être celle qui lui tiens tête, ça me plait … une idée germe dans mon esprit, qui va effectivement se réaliser …
On rentre, O vient également, et sitôt arrivés S et moi reprenons là où nous en étions … debout près de la table, alors que O est juste à côté, nous nous embrassons, nous caressons, nous touchons, nous sentons et reniflons … il me tient fermement, mais taquine je lui résiste un peu, décidée à mener autant que possible le jeu … sa main dans mon pantalon, dans ma culotte, ses doigts forts qui me caressent, me pénètrent … la chaleur monte, nous sommes toujours debout. Mon pantalon descend, le sien s’ouvre et mes mains se font caressantes, malaxant son sexe chaud et déjà légèrement humide … il soulève mon pull et me mange les seins tout en fouillant mon intimité de ses doigts, tentant de me faire fontaine … mais je résiste, c’est bon de maîtriser un peu et son corps et la situation … et je sens le regard de son cousin sur nous … il n’hésite pas à nous parler « vous êtes beaux tous les deux » « ça fait un peu film érotique ». On en rit avec S, on sent son envie de se joindre. Mais je dis non … Je me mets à genoux pour sucer S, toujours aussi gourmande de queue … il est là debout, à ma merci, moi à genoux, le cul à l’air avec le cousin qui regarde, et je sens ce pouvoir, ce Girl Power que je détiens … car malgré tout, c’est moi qui décide et ils respectent ça. Je sens aussi leur complicité … les regards qu’ils échangent, les remarques « oh c’est trop bon cousin » « putain vous commencez à m’exciter tous les deux » comme une sorte de lien entre eux et en même temps de rivalité toute masculine … alors je choisit de jouer à fond sur cette compétition : pour une fois, c’est S qui va « gagner » … et O n’aura que le droit de regarder …
Il me met à quatre pattes, me caresse le cul, tout en interpellant le cousin « quel beau cul pas vrai cousin » … et ses mains qui reviennent me fouiller, tenter de me faire céder … je profite du plaisir, mais retiens les débordements.
Il me lève pantalon aux genoux, et s’apprête à me lécher lorsqu’on se rend compte qu’il m’a sans doute griffée involontairement, je saigne … ce plaisir là ne sera pas pour cette fois … je vais me nettoyer, les entends qui discutent … et reviens, rhabillée mais pas prête à partir.
S m’avait dit qu’il me ferait attendre, qu’on ne coucherait pas ensemble ce soir, et qu’il ne jouirait pas, je devais « le mériter » … un défi de cet ordre … je ne je me ferais peut être pas baiser ce soir, mais lui il allait jouir … ou je ne m’appelle pas C !!!!
Je lui dit que je n’avais pas fini moi … Alors il s’installe sur le canapé, je me mets à genoux devant lui et entreprends de le sucer à nouveau … comme j’aime le faire … commencer par lécher les couilles, les faire rouler doucement en bouche puis remonter le long de la hampe et prendre son gland entre les lèvres, l’aspirer, le caresser du bout de la langue, tourner autour comme une bonne sucette … son cousin me demande s’il peut voir mon cul … je le regarde deux secondes, et baisse le pantalon et la culotte, mais lui dit « tu regardes mais tu ne touches pas » … ce sentiment de triomphe de le voir obéir alors que je m’occupe de S, qui se pâme tout en souriant à son cousin … riant même de le voir penaud … O sort sa queue du pantalon, pour bien me montrer qu’il bande comme un taureau maintenant … et c’est jouissif …
Regardant S par en dessous, le sourire aux lèvres qui sont toujours autour de sa queue, je tente un léger mouvement du doigt autour de son petit trou … le voyant réagir favorablement, je continue mon avancée. Je lui demande carrément : « et je peux aller plus loin ? » ce à quoi il me répond « où tu veux » … hummm j’aime cette sensation de le voir céder, de voir son plaisir monter … je le laisse prendre sa queue en main, se branler alors que mon doigt s’aventure plus loin et commence un stimulation dont il semble profiter pleinement …
Sentiment grisant que de le sentir sous mon doigt, pas à ma merci mais presque, et son cousin qui regarde toujours la queue à la main … jusqu’à ce que S succombe et jouisse sur mes seins et sur lui …
J’ai le sourire jusqu’aux oreilles, S est à la fois détendu et hilare, le cousin flotte et a toujours sa queue à la main. Je fait remarquer à S que j’ai gagné, ce à quoi il me réponds « oh oui … mais c’est si bon de perdre comme ça ! » et à son cousin « putain c’est ma revanche cousin !!!! »
Un vrai plaisir et une surprise de me savoir aussi « salope » et maîtresse d’un jeu tel que celui là.
Comme quoi on se découvre sans arrêt …